Bibliothèque.

(je te laisse, bonne nuit et bye^^)

Aoi rentra dans la bibliothèque en pleurant et alla dans le rayon enfant et se cacha. Elle pleurait à chaude larmes mais ne faisait pas trop de bruit. Son père allait rentrer tard et elle ne voulait pas le déranger dans son travail.

( Bonne nuit , bye ^^)

Sam était non loin du rayon enfants , il était assis a une table en train de lire des livres sur la médecine avant d'entendre un bruit étrange alors il se leva et se mit a chercher d'ou provenait le bruit. Une fois trouver il voit une petite fille en train de pleurer a chaude larmes alors il s'approcha doucement d'elle et posa une main sur sa tête.

- Pourquoi tu pleure petite ? Ou sont tes parents ?

(merci^^)

Aoi regarda l'inconnu, reniflant doucement. Il avait l'air gentil et sa main était douce et chaude.

-Mon papa travaille beaucoup.... mais je me suis enfuit car ma nourrice m'a giflé alors que je n'ai rien fait.

Sam la regarde en l'écoutant avant de la prendre dans ses bras.

- Allons , ne pleure plus. Je vais te ramener chez toi d'accord ? Si ton père ne te voie pas il va s'inquiétait. Et si la vilaine dame et encore la je la mettrais dehors d'accord ?

Il lui souris tendrement.

Aoi se laissa faire, se calmant doucement. Elle le regarda, reniflant un peu. Elle hocha la tête.

-Vraiment ? Mais monsieur, tu dois avoir des choses à faire....

Sam lui sourit tendrement.

- Non c'est bon ,j'étais juste en train de lire et puis je ne peux pas te laisser toute seul. Bien , ou habite tu ?

Aoi sourit alors. Elle lui donna son adresse. Elle était désormais joyeuse car quelqu'un s'occupait d'elle.

Sam se dirigea donc chez elle après qu'elle lui ai donner l'adresse. Arriver après quelque minute il entra.

- Désolé du dérangement. Il y a quelqu'un ?

Il voulait savoir si la femme était encore la.

La femme y était. Aoi la vit et se tenu encore plus fort aux épaules de Sam, avec ses petites mains, tremblantes. La femme les fixait.

-Aoi ! Où étais tu passée ?!

Sam vis la femme et sentis Aoi se tenir encore plus fort a lui alors il l'a serra doucement en fixant la femme froidement.

- Vous devriez partir sur le champs madame ! Comment quelqu'un peut osé giflé une enfant ?! Vous devriez avoir honte ! Sortez ! Et ne revenez plus ici !!